A l'heure où je publie cet article, mon premier roman, Maliarka, vient de paraître aux Editions Edilivre. Je me suis souvent demandé ce qu'on pouvait ressentir en pareille occasion... Eh bien, personnellement, je me sens partagée. Partagée entre le sentiment de l'accomplissement et celui de l'inachèvement. Partagée entre le bonheur et l'effroi d'avoir rendu public un de mes écrits. Partagée, comme tout auteur, sans doute, entre l'impression de se cacher et celle de s'exhiber à chaque page.
Alors, au lecteur qui viendrait à lire ces quelques lignes, pourquoi ne pas partager aussi l'aventure de Maliarka ?
L'histoire : Toulouse, septembre 1995.
Maliarka, une musicienne d’origine russe, trouve dans sa boîte aux lettres un
petit bout de papier sur lequel figure l’inscription 366. Même chose le
lendemain avec l’inscription 365. Un doute s’installe dans l’esprit de la jeune
femme tandis que le phénomène se reproduit quotidiennement. A quoi correspond
ce qui ressemble à un compte à rebours ? Faut-il n’y voir qu’une
plaisanterie ? Un avertissement ? Et qui est le messager ?
Maliarka cherche la réponse dans son entourage : serait-ce une locataire
de la résidence étudiante dont elle est gardienne ? Un mauvais coup de
Fichoira, le gardien de la résidence voisine, avec qui elle est en
conflit ? C’est bientôt tout son univers qu’elle sent menacé. Et lorsque surviennent les grèves, à l’automne
95, Maliarka commence à envisager une réponse à cette énigme à une échelle plus
vaste que celle de sa propre vie.
Pour l’instant je suis plongée dans l’histoire, j’adore toutes les références musicales rencontrées, je laisserai un petit mot à la fin de ma lecture sur la page fb. En attendant Bravo
RépondreSupprimerMerci beaucoup, Laurence. Ce commentaire me fait plaisir de la part d'une spécialiste de la musique. Encore une fois, je suis très touchée. Merci.
SupprimerBises.
Coucou. je découvre que tu as réalisé ce livre. Je vais donc m'occuper de le commander dans le weekend, et après ... lecture !
RépondreSupprimerCoucou Jean-Marc, j'espère que ça te plaira... Nous aurons sans doute le plaisir d'en discuter.
Supprimer