vendredi 17 août 2018

Maliarka


A l'heure où je publie cet article, mon premier roman, Maliarka, vient de paraître aux Editions Edilivre. Je me suis souvent demandé ce qu'on pouvait ressentir en pareille occasion... Eh bien, personnellement, je me sens partagée. Partagée entre le sentiment de l'accomplissement et celui de l'inachèvement. Partagée entre le bonheur et l'effroi d'avoir rendu public un de mes écrits. Partagée, comme tout auteur, sans doute, entre l'impression de se cacher et celle de s'exhiber à chaque page.
Alors, au lecteur qui viendrait à lire ces quelques lignes, pourquoi ne pas partager aussi l'aventure de Maliarka ?

Thème : Le temps qui reste, résister…

L'histoire Toulouse, septembre 1995. Maliarka, une musicienne d’origine russe, trouve dans sa boîte aux lettres un petit bout de papier sur lequel figure l’inscription 366. Même chose le lendemain avec l’inscription 365. Un doute s’installe dans l’esprit de la jeune femme tandis que le phénomène se reproduit quotidiennement. A quoi correspond ce qui ressemble à un compte à rebours ? Faut-il n’y voir qu’une plaisanterie ? Un avertissement ? Et qui est le messager ? Maliarka cherche la réponse dans son entourage : serait-ce une locataire de la résidence étudiante dont elle est gardienne ? Un mauvais coup de Fichoira, le gardien de la résidence voisine, avec qui elle est en conflit ? C’est bientôt tout son univers qu’elle sent menacé. Et lorsque surviennent les grèves, à l’automne 95, Maliarka commence à envisager une réponse à cette énigme à une échelle plus vaste que celle de sa propre vie.


4 commentaires:

  1. Pour l’instant je suis plongée dans l’histoire, j’adore toutes les références musicales rencontrées, je laisserai un petit mot à la fin de ma lecture sur la page fb. En attendant Bravo

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    1. Merci beaucoup, Laurence. Ce commentaire me fait plaisir de la part d'une spécialiste de la musique. Encore une fois, je suis très touchée. Merci.
      Bises.

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  2. Coucou. je découvre que tu as réalisé ce livre. Je vais donc m'occuper de le commander dans le weekend, et après ... lecture !

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    1. Coucou Jean-Marc, j'espère que ça te plaira... Nous aurons sans doute le plaisir d'en discuter.

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